AIDONS AUTREMENT NOS ENTREPRISES
Nos entreprises sont souvent gênées par la réglementation et la concurrence due à un libéralisme sans limite.
Si nous voulons maintenir le peu d’entreprises qu’il nous reste et donc nos emplois, les mesures suivantes doivent être prises.
L’économie est basée sur les entreprises et le travail des entrepreneurs et de leurs collaborateurs et salariés. L’économie n’a pas besoin de la finance pour vivre mais le contraire n’est pas vrai… N’inversons pas les choses !
Respectons l’entreprise, l’entreprenariat qui se décline de multiples façons dans l’économie (artisans, commerçants, industriels, entrepreneurs, exploitations agricoles…)
Trop d’entreprises au sens large du terme disparaissent sous le poids de la réglementation toujours plus importante. Nous devons ramener de la réalité au sein des commissions qui établissent les lois et les réglementations. Moins de lois et de réglementations ou du moins une réglementation plus concertée et négociée par les organismes de représentation des différents métiers ainsi qu’une réglementation pragmatique et réaliste représenteraient une très grande avancée.
Je souhaite une économie réaliste, une économie où la finance et la spéculation restent à leur place et où les banques prennent les risques avec les entreprises et non sur le dos des entreprises et des entrepreneurs !
Le monde de la finance tue l’entreprise à petit feu.
Je souhaite limiter l’impact de la finance et de la spéculation sur l’économie réelle.
Revenons à un capitalisme sain et à une économie réelle et non spéculative.
Stop au libéralisme sans limite ! Je militerai pour rétablir un équilibre dans les échanges en établissant des taxes basées sur les critères de qualité, de respect de l'environnement et de l'humain sous toutes ces formes.
Je m'engage pour soutenir les PME et les petits commerçants car ce sont eux qui font vivre nos villages. Il faut également limiter l'emprise des grandes surfaces et des grands groupes industriels si celle ci entraîne trop de conséquences négative sur nos petites entreprises. Il faut également rétablir la préférence national et même local notamment dans nos appels d'offres au niveau des territoires.
En outre, arrêtons de donner aux entreprises et notamment à nos grands groupes industriels sans retour, sans contre-partie car un capitalisme sain et responsable n'a pas besoin de cela.